Non.
Il ne brille plus le Soleil de l'éternité réconfortante. Boule grise qui tourne faisant des cercles maudits. Seuls les Sourires des Notes du gouffre de l'insoucience le fait apparaître. Une seule seconde qui bat de l'Aile pour fermer les yeux des Coeurs criant la Rage. Crissent dans les oreilles des Corbeaux.
Alors suivez-les, les Nuages de la Vie.
Les Nuages qui courent plus vite que Jamais, poussés par le vent du Nord.
Attrapez un "Aurevoir" au vol et payez le en "Bonjour" pour le voyage d'un Paradis Perdu.
Apocalypse d'une Terre éclaboussée de Sang violet. Bleus affligés par l'Intolérance.
Non.
Il ne brille plus qu'a travers les rires qui emmerdent le Monde. Qu'à travers l'infini brûlant.
Une étoile étincelante devrait nous guider dans notre quête de l'Espoir perdu, mais elle s'est noyée dans l'Océan glacial de la cruauté humaine.
Océan où des milliers de coeurs on été jetés crachant la rage en des bulles noires du Néant trop présent.
On devrait fermer les yeux et les réouvrir sur un monde brillant de Santé.
Suivez les Nuages pauvres fous.
Non.
Le Soleil dans ta bouche, n'a plus rien de beau. Invisible. Avalé par le dégout. Salive acide meurtrier.
Alors La Lune blanche est trombée de son perchoir aux rêves. Ecrasant les maisons du bonheur. Colline poignardée par un croissant de verre.
Plus aucun jeu de frôlement entre le Jour et la Nuit. Le Vide dans le ciel parcouru par notre Liberté éphemère.
Du gris. Poil du Malheur ettoufant.
Vascillent les ombres affamées. Crèvent les pauvres pleurs trop présents.
C'est la Fin d'un Monde.
La Naissance de celui des Emmerdeurs sifflotants.
Paupières en voile macabre.
Le Vent en un dernier Soupir d'Espoir